Description
Date depot: 1 janvier 1900
Titre: Topologie algébrique pour le sensing en radio-cognitive
Directeur de thèse:
Laurent DECREUSEFOND (LTCI (EDMH))
Domaine scientifique: Sciences et technologies de l'information et de la communication
Thématique CNRS : Non defini
Resumé:
L’efficacité d’un système de radio-cognitive dépend hautement de la détermination de la répartition spatiale des fréquences libres. Dans l’état actuel des systèmes proposés, cette détermination se fait au niveau des nœuds souhaitant accéder à une ressource spectrale. Une proposition déjà innovante est qu’un réseau de capteurs dédié se charge de cette détermination en remontant des informations locales de disponibilités de fréquences à un nœud central. Nous proposons ici en outre, que les capteurs déterminent les capteurs voisins, c’est-à-dire ceux qui sont à leur portée radio et que cette information supplémentaire soit traitée de façon novatrice. En effet, on peut ainsi construire un objet mathématique, généralisant les graphes, représentant de manière compacte l’ensemble des nœuds voyant les mêmes fréquences libres. Des calculs algébriques donc implémentables sur un ordinateur, issus de la topologie algébrique, permettent alors de calculer efficacement le nombre de fréquences libres globalement, ou le cas échéant de situer les zones où aucune fréquence commune n’est disponible.
L’efficacité d’un système de radio-cognitive dépend hautement de la détermination de la répartition spatiale des fréquences libres. Dans l’état actuel des systèmes proposés, cette détermination se fait au niveau des nœuds souhaitant accéder à une ressource spectrale. Une proposition déjà innovante est qu’un réseau de capteurs dédié se charge de cette détermination en remontant des informations locales de disponibilités de fréquences à un nœud central. Nous proposons ici en outre, que les capteurs déterminent les capteurs voisins, c’est-à-dire ceux qui sont à leur portée radio et que cette information supplémentaire soit traitée de façon novatrice. En effet, on peut ainsi construire un objet mathématique, généralisant les graphes, représentant de manière compacte l’ensemble des nœuds voyant les mêmes fréquences libres. Des calculs algébriques donc implémentables sur un ordinateur, issus de la topologie algébrique, permettent alors de calculer efficacement le nombre de fréquences libres globalement, ou le cas échéant de situer les zones où aucune fréquence commune n’est disponible.
Doctorant.e: Vergne Anais